1987 A la recherche d’imposteurs à la Villa Médicis
Le piano de Debussy
J’avais remarqué que le moment où les salons de la Villa étaient le plus déserts se situait vers 11h. Les lèves-tard avaient alors fini de prendre leur petit déjeuner dans ces espaces somptueux, conçus pour les fastes des Médicis et non pour la villégiature de jeunes artistes français. De plus, à cette heure, le personnel n’avait pas encore commencé à dresser la table pour le repas de midi.