« Il faut choisir comment on veut connaître : ou bien on veut le point de vue (objectif), et alors il faut s’éloigner, ne pas toucher ; ou bien on veut le contact (charnel), et alors l’objet de la connaissance devient une matière qui nous enveloppe, nous dessaisit de nous-mêmes, ne nous rassasie d’aucune certitude positive. »
Georges Didi-Huberman dans Être crâne (2000, p. 70)
- De la connaissance