© Sanja Marusic
« [en regardant des masques africains au Trocadéro] J’ai compris à quoi ça leur servait, leur sculpture, aux nègres. Pourquoi sculpter comme cela et pas autrement. Ils n’étaient pas cubistes tout de même ! (…) Tous les fétiches, ils servaient à la même chose. Ils étaient des armes. Pour aider les gens à ne plus obéir aux esprits, à devenir indépendants. Des outils. Si nous donnons une forme aux esprits, nous devenons indépendants.
Pablo Picasso